2025-09-22
Il y a dans chaque localité de Suisse une ou plusieurs personnes qui prient pour ses habitants et pour ses autorités communales.
Le 3e dimanche de septembre en Suisse est le jour de prière pour le pays. Des chrétiens se regroupe ce jour pour prier pour la Suisse, les canton et les villes.
Cette manifestation est organisé par Prière pour la Suisse
2025-09-20
Amon tombe amoureux de Tamar. Il en devient malade. Tamar est sa soeur. Il était timide et fantasmait.
Jonadab son cousin l'aide et a un plan. Il lui propose de faire semblant d'être malade et de demander à Tamar de lui servir à manger.
David accepte cette idée et demande à Tamar d'aller chez Amon. Tamar alla chez son frère Amnon, qui était couché. Elle prit de la pâte, la pétrit, prépara des gâteaux devant lui et les fit cuire.
Amon lui dit : Viens, couche avec moi, ma sœur. Elle refuse. Elle lui dit "Maintenant, parle donc au roi et il ne m’empêchera pas d’être à toi. "
Mais il ne voulut pas l’écouter. Il se montra plus fort qu’elle et il la viola, il coucha avec elle.
Puis Amnon éprouva de la haine envers elle, une haine plus forte encore que ne l’avait été son amour, et il lui dit : « Lève-toi, va-t’en ! »
Dans Deutéronme il est écrit "Maudit soit celui qui couche avec sa sœur, la fille de son père ou de sa mère "
Lire 2 Samuel 13
2025-08-20
Il y a deux récits contradictoires dans la Bible au sujet de la mort du roi Saul. Le premier est dans 1 sam 31
"Saül dit alors à son porteur d’armes : « Tire ton épée et transperce-moi ! Sinon, ce seront ces incirconcis qui viendront le faire et ils me feront subir leurs mauvais traitements. » Son porteur d’armes ne voulut pas le tuer, car il était rempli de peur. Alors Saül prit son épée et se jeta dessus. "
Ici on voit que Saul se suicide. Il se jette sur son épée
Mais dans 2 sam 1 il y a un autre récit un amalécite raconte ceci
"Je me trouvais sur le mont Guilboa. Or Saül s’appuyait sur sa lance, et les chars et les cavaliers le serraient de près. Il s’est retourné, m’a aperçu et m’a appelé. J’ai dit : ‘Me voici !’ Il m’a demandé : ‘Qui es-tu ?’ Je lui ai répondu : ‘Je suis amalécite.’ Il a dit : ‘Approche-toi donc et donne-moi la mort, car je me sens mal, même si je suis encore plein de vie.’ Je me suis approché de lui et lui ai donné la mort, sachant bien qu’il ne survivrait pas à sa défaite. J’ai retiré la couronne qui était sur sa tête et le bracelet qu’il avait au bras et je te les apporte ici, mon seigneur. "
D'un coté il y a un récit factuel et d'un autre il y a la parole de cet homme.
David a été choqué en entendant cet amalécite et donc l'a tué car selon ses paroles il était meurtrier et a tué le roi Saul
Voici la complainte que David composa sur Saül et sur son fils Jonathan. Il ordonna de l’enseigner aux Judéens. C’est la complainte de l’arc, qui figure dans le livre du Juste.
« L’élite d’Israël a été blessée sur tes collines !
Comment des héros ont-ils pu tomber ?
Ne l’annoncez pas dans Gath, n’en proclamez pas la nouvelle dans les rues d’Askalon, sinon les filles des Philistins se réjouiraient, les filles des incirconcis triompheraient.
Monts Guilboa, qu’il n’y ait sur vous ni rosée ni pluie, ni champs permettant de faire des offrandes !
En effet, c’est là qu’a été jeté le bouclier des héros,
le bouclier de Saül.
Plus jamais on ne le graissera avec de l’huile.
Devant le sang des blessés, devant la graisse des plus vaillants, l’arc de Jonathan n’a jamais reculé et l’épée de Saül ne retournait pas à vide.
Saül et Jonathan, aimés et chéris pendant leur vie, n’ont pas été séparés dans la mort.
Ils étaient plus légers que les aigles, ils étaient plus forts que les lions. Filles d’Israël, pleurez sur Saül !
Il vous habillait d’un cramoisi magnifique, il mettait des ornements d’or sur vos habits.
Comment des héros ont-ils pu tomber au milieu du combat ?
Comment Jonathan a-t-il pu être blessé sur tes collines ?
Je suis dans la douleur à cause de toi, Jonathan, mon frère ! Tu faisais tout mon plaisir.
Ton amour pour moi était merveilleux, supérieur à l’amour des femmes. Comment des héros ont-ils pu tomber ? Comment leurs armes ont-elles pu être détruites ? »
2025-07-17
Découvrez l'histoire incroyable du Temple du Calvaire, la plus grande église d'Inde avec plus de 300 000 membres ! Suivez le parcours inspirant du pasteur Satish Kumar, qui a transformé une petite congrégation de 25 fidèles en un mouvement spirituel massif. Plongez dans l'ambiance unique des services dominicaux qui commencent dès 4h du matin, attirant des milliers de fidèles. Explorez les projets ambitieux de l'église, notamment la construction de 40 nouvelles méga-églises en 10 ans et leur vaste réseau médiatique touchant des millions de personnes. Découvrez comment le Temple du Calvaire nourrit gratuitement 50 000 personnes chaque dimanche et offre des soins médicaux à ses membres. Apprenez-en plus sur leur système innovant de carte d'accès, leurs sessions de prière massives, et comment ils persistent face aux défis. Une histoire de foi, de croissance et de service qui ne manquera pas de vous inspirer !"
2025-07-07
Un soir je ne pouvais pas dormir alors j'ai mis mes écouteurs et j'ai écouter la radio. Je suis tombé sur une émission qui parlait de Dietrich Bonhoeffer. Je ne connaissais pas cet homme mais ce qui j'ai entendu m'a intéressé. J'ai décidé de chercher les livres de cet homme.
C'est , un théologien et pasteur allemand qui s'est opposé au régime nazi pendant la Seconde Guerre mondiale.
Bonhoeffer, issu d'une famille bourgeoise, choisit d'étudier la théologie et devient pasteur, à la surprise de son entourage. Il étudie à Berlin, Rome, et un an à New York, où il découvre le racisme systémique aux États-Unis.
De retour en Allemagne en 1931, il est choqué par la montée en puissance d'Hitler et la haine qu'il propage. Contrairement à une grande partie de la société et de l'Église protestante allemande, qui voient en Hitler un homme providentiel et se laissent séduire par son discours nationaliste, Bonhoeffer perçoit immédiatement le danger du nazisme. De nombreux chrétiens allemands soutiennent activement Hitler, certains pasteurs le considérant comme l'envoyé de Dieu et modifiant même la Bible pour l'aligner avec l'idéologie nazie, allant jusqu'à demander la suppression de l'Ancien Testament.
Dès 1934, Bonhoeffer dénonce publiquement le nazisme, affirmant que l'Église doit protéger les victimes et s'opposer au gouvernement si nécessaire, car "rester neutre, c'est être complice". Il rejoint l'Église confessante, un mouvement de chrétiens refusant l'allégeance à Hitler.
En 1935, le régime nazi lui interdit d'enseigner. En réponse, Bonhoeffer fonde un séminaire clandestin à Finkenwalde, en Pologne (près de la frontière allemande, à l'est), pour former une nouvelle génération de pasteurs résistants. Ce séminaire est fermé par les nazis en 1937, et Bonhoeffer est interdit de publication et de prise de parole en public. Malgré cela, il continue d'enseigner en secret, d'écrire et de rencontrer des résistants, transmettant même des messages secrets.
En 1940, il se rend à New York, où un poste de professeur lui est proposé. Cependant, il ressent un profond remords et le sentiment de trahir sa mission en fuyant l'Allemagne. Vingt-six jours après son arrivée, il décide de retourner dans son pays, convaincu que sa foi exige un engagement total aux côtés de son peuple.
De retour en Allemagne, Bonhoeffer rejoint un réseau de résistance clandestine, qui inclut des diplomates et des militaires, dont des membres de sa propre famille. Il devient militaire au sein de l'Abwehr (services de renseignement allemands), sous la protection de Wilhelm Canaris. Officiellement diplomate et conseiller religieux, il utilise cette couverture pour voyager en Europe (notamment en Suède et en Suisse), rencontrer des diplomates et des évêques étrangers, et dénoncer les actions nazies, en particulier contre les Juifs. Il tente de convaincre les Alliés de l'existence d'un mouvement de résistance en Allemagne, mais sans succès.
La question de sa participation active à un complot visant à tuer Hitler reste sans réponse, bien qu'il ait été en contact étroit avec des résistants qui préparaient des attentats. Bonhoeffer estimait que "ne rien faire face au mal absolu, c'est déjà un crime".
Le 5 avril 1943, la Gestapo arrête Bonhoeffer à son domicile de Berlin. Il est emprisonné à Tegel. Bien qu'il n'y ait pas de preuves de sa participation à un complot contre Hitler, il est arrêté pour "démoralisation des troupes". Pendant ses deux ans de détention, il écrit de nombreuses lettres et pages, exprimant sa liberté spirituelle même en prison.
Après l'opération Walkyrie (la tentative d'assassinat d'Hitler en 1944), son sort est scellé. En avril 1945, il est transféré au camp de concentration de Flossenbürg. Il refuse une occasion de s'évader, ne voulant pas abandonner ses compagnons.
Le 8 avril 1945, Bonhoeffer célèbre un dernier office avec ses compagnons de cellule. Le 9 avril 1945, à l'aube, il est conduit à la potence et exécuté. Un ancien médecin du camp, témoin de l'exécution, a décrit sa mort comme empreinte d'une foi certaine et paisible. Bonhoeffer n'a pas crié, ne s'est pas rebellé.
Sa vie et son engagement, notamment son livre "Vivre en disciple - Le prix de la grâce", continuent d'inspirer des millions de croyants.